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Facs en Luttes #4 : la carte est pleine !

Facs en Luttes #4 : la carte est pleine !

Voici la 4e édition de Facs en Luttes, le bulletin de la mobilisation sur tout le pays ! Il fait peau neuve avec une cartographie interactive. Retrouvez les premiers numéros ici #1, ici #2 et ici #3.
Vous pourrez voir la cartographie interactive ici !
Voir en plein écran
Le campus est bloqué et occupé de façon reconductible ou illimitée.
Le campus est bloqué ponctuellement les jours de mobilisation.
Un lieu est occupé par les étudiant-es mobilisé-es.
Les étudiant-es s’organisent en Assemblée Générale.
Cartographie réalisée par la fédération Solidaires étudiant-e-s, syndicats de luttes. Pour toute imprécision ou contact presse : contact@solidaires-etudiant-e-s.org / 06.86.80.24.45
Après la mise sous tutelle de Toulouse le Mirail déclarée ingouvernable par le ministère et finalement autogérée par son Assemblée Générale, la mobilisation du 22 mars a vu 15 facs bloquées. Suite à l’attaque d’extrême-droite sous l’égide du doyen de la fac de droit Philippe Pétel, l’indignation et la solidarité qui s’ensuit voit les AG grossir et se multiplier dans toutes les facs du pays. Le 3 avril, pour le début de la grève perlée des cheminot-es, c’est plus de 20 facs qui sont bloquées et occupées, de façon reconductible pour une grande partie d’entre elles.
Paris qui se faisait attendre dans la mobilisation se réveille cette semaine, suite notamment aux évènements de Nanterre. Le 10 avril, date de mobilisation spécifique aux questions étudiantes est une franche réussite, on dépasse les 30 universités bloquées ou occupées.
Ce sont au total les étudiant-es de plus d’une cinquantaine de campus qui sont mobilisé-es dans toute la france contre le plan Vidal, la sélection à l’université et toutes les régressions qui y sont liées !


 
Retrouvez tout notre dossier qui analyse chaque point de la réforme :

Nous revendiquons l’abandon de toutes ces mesures.
Contre la sélection et la privatisation, nous réclamons un financement public à hauteur des besoins de l’enseignement supérieur et de la recherche : 5 milliards par an sur 5 ans pour construire la dizaine d’universités nécessaires pour combler les 260.000 places manquantes dans l’enseignement supérieur.
 

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