Grève féministe internationale : Le 8 Mars 2024 en grève et en manif !
Grève générale féministe ? Le 8 mars est la journée internationale de […]
Grève générale féministe ? Le 8 mars est la journée internationale de […]
Les 7 et 11 Février ont permis d’ancrer la mobilisation, celle-ci est […]
Ce samedi 1er mai, les travailleur-euse-s se sont retrouvé-es dans la rue pour continuer les luttes en cours mais aussi pour témoigner un attachement à cette journée ouvrière internationale historique. Alors que les réformes néo-libérales du gouvernement Macron ne cessent de tomber depuis le début du quinquennat (Loi Travail, Réforme des retraites, loi Sécurité Globale, loi séparatismes…), la crise sanitaire n’a fait que mettre en évidence une précarisation accrue de la classe laborieuse, celle qui vends sa force de travail au patronat, pendant que écarts entre les plus riches et les plus pauvres se creusent. Les politiques d’austérités menées par les gouvernements protégeant la classe bourgeoise sont responsables de cette situation.
Depuis le début de la crise sanitaire, la précarité étudiante ne fait que s’aggraver sans que le gouvernement n’apporte de réponse satisfaisante. Cependant il faut noter que cette précarité n’est pas issue de la crise mais est un problème structurel. En effet, si la pandémie l’a aggravée et l’a mise en lumière, elle ne l’a pas créée. Ainsi, alors que la situation des étudiant-e-s ne fait que se dégrader, le gouvernement reste sourd à leurs demandes et à celles de leurs syndicats.
Il est donc important de nous organiser collectivement et de nous mobiliser face à cette situation.
Depuis le début de la crise sanitaire, la précarité étudiante ne fait que s’aggraver sans que le gouvernement n’apporte de réponse satisfaisante. Cependant il faut noter que cette précarité n’est pas issue de la crise mais est un problème structurel. En effet, si la pandémie l’a aggravée et l’a mise en lumière, elle ne l’a pas créée. Ainsi, alors que la situation des étudiant-e-s ne fait que se dégrader, le gouvernement reste sourd à leurs demandes et à celles de leurs syndicats.